Depuis le 1er septembre, il est en principe impossible de trouver des ampoules à incandescence classiques de 100 W dans les rayons des magasins dans l’ensemble de l’Union européenne du fait de l’entrée en vigueur des nouvelles exigences de l’UE en matière d’efficacité énergétique.
Il est en effet prévu un retrait progressif de la vente entre 2009 et 2012 des lampes les plus énergivores (de 100 jusqu’à 25 W).
Le bénéfice attendu est de l'ordre de 40 TWh épargnés d’ici à 2020 dans l’UE. Pour les fabricants et les distributeurs, cette mesure constitue néanmoins un tournant, car elle les
oblige à revoir leurs produits, s'agissant des produits les plus consommateurs et des moins chers du marché.
Cependant, cette réglementation induit également des évolutions nécessaires en matière d'efficacité ainsi que de nouvelles sources de revenus pour les industriels, avec par exemple les ampoules halogènes améliorées au xénon ou munies d’un revêtement infrarouge qui augmentent
respectivement l’efficacité de 20 et 45 %. Les Leds sont également de plus en plus répandues.
Les lampes fluocompactes sont déjà largement répandues (63,8 % des ménages en possèdent au moins une), qui permettent d’économiser de 65 à 80 % d’électricité.
Un avis de l’Ademe publié en août 2009 précise du reste que ce paramètre devra être affiché
sur les emballages, afin de mieux informer le consommateur de son impact et de son empreinte écologique.
Reste que ces produits sont parfois handicapés par des intensités lumineuses encore limitées (équivalentes à une incandescence de 35 W) et des prix qui peuvent aller jusqu'à 20 voire 48 €
pièce...
Le retour sur investissement est donc difficile à appréhender pour le consommateur, d'où la nécessité pour les fabricants de faire oeuvre de pédagogie et de démontrer les économies d'utilisation générés par ces nouveaux produits énergétiques performants.
Il est en effet prévu un retrait progressif de la vente entre 2009 et 2012 des lampes les plus énergivores (de 100 jusqu’à 25 W).
Le bénéfice attendu est de l'ordre de 40 TWh épargnés d’ici à 2020 dans l’UE. Pour les fabricants et les distributeurs, cette mesure constitue néanmoins un tournant, car elle les
oblige à revoir leurs produits, s'agissant des produits les plus consommateurs et des moins chers du marché.
Cependant, cette réglementation induit également des évolutions nécessaires en matière d'efficacité ainsi que de nouvelles sources de revenus pour les industriels, avec par exemple les ampoules halogènes améliorées au xénon ou munies d’un revêtement infrarouge qui augmentent
respectivement l’efficacité de 20 et 45 %. Les Leds sont également de plus en plus répandues.
Les lampes fluocompactes sont déjà largement répandues (63,8 % des ménages en possèdent au moins une), qui permettent d’économiser de 65 à 80 % d’électricité.
Un avis de l’Ademe publié en août 2009 précise du reste que ce paramètre devra être affiché
sur les emballages, afin de mieux informer le consommateur de son impact et de son empreinte écologique.
Reste que ces produits sont parfois handicapés par des intensités lumineuses encore limitées (équivalentes à une incandescence de 35 W) et des prix qui peuvent aller jusqu'à 20 voire 48 €
pièce...
Le retour sur investissement est donc difficile à appréhender pour le consommateur, d'où la nécessité pour les fabricants de faire oeuvre de pédagogie et de démontrer les économies d'utilisation générés par ces nouveaux produits énergétiques performants.
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